Coutras-banlieue et les commerçants.
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Coutras-banlieue et les commerçants.
Coutras est en passe de venir la banlieue enclavée…de certaines des communes qui l’entourent !
C’est l’économie qui fait vivre les gens, comme ils vivent, et non pas la politique qui fabrique sa clientèle selon qu’elle vit bien ou mal et qui se satisfait bien de l’une ou l’autre de ces conditions : l’on sait bien que de tous bords, elle est conduite par des dirigeants nationaux ou locaux qui, eux, de toutes façons, vivent bien et pas toujours de leur travail.
Si des commerçants disparaissent, c’est parce qu’ils n’ont plus de clients.
Le commerçant d’une ville comme Coutras, c’est celui qui, tout bien considéré, ne vend pas plus cher que les grosses enseignes, ne serait-ce que parce qu’il ne vend pas son après-vente, mais le donne ; c’est par exemple le plombier qu intervient dès la survenance d’une panne, le garagiste qui vous ramène à domicile, c’est celui qui connaît vos goûts, vos habitudes, qui a tout intérêt (et oui !) à garder son client, contrairement au salarié desdites enseignes qui n’a rien à faire de vos soucis et qui n’a qu’une consigne : vendre, même si vous n’avez pas les moyens d’acheter.
C’est le boucher… mais c’est vrai, il n’y en a plus : les gens préfèrent acheter « industriel » et payer très cher les emballages de la viande pour chiens qu’on leur offre et de même, certains autres produits ; car en effet, en matière alimentaire ou autre, de la m… pas cher, c’est très cher, mais on apprend aux gens l’inverse !
Il y en a qui l’ont compris : le commerce « de proximité » se développe à nouveau, mais au profit de multinationales (allemandes ou autres : ils sont forts !), mais là, il n’est pas question de dialoguer ; quant à l’après-vente…
Et bien j’attends des gestionnaires d’une commune la même disponibilité que celle de « mes » petits commerçants, dans un esprit d’équipe, comme on l’a vu avec des conseillers qui n’hésitaient pas à faire la route, à toute heure, pour constater, écouter… et faire circuler l’information pour le bien public, toujours dans l’esprit d’une équipe (municipale) responsable (ils sont partis, et pour cause !).
Seulement voilà : la gestion dans cet état d’esprit d’une commune comme Coutras, ce n’est pas celle de l’adepte des 35 heures, ni de celui (ou celle) qui vous renvoie à un numéro inaccessible en cas d’urgence, ni de celui (ou celle) qui se gargarise d’expressions ou rapporte les paroles des dirigeants nationaux de tous bords dont il (elle) ne connaît pas le sens, diffuse des contre-vérités ou donne des leçons de principes… qu‘il (ou elle) ne respecte pas lui (elle)-même.
Félicitations pour cet état d’esprit à plusieurs intervenants de ce blog.
P.S. : je ne suis pas candidat et pas du tout commerçant, loin de là, et je ne vois pas de liste ou il n’y a QUE des commerçants.
C’est l’économie qui fait vivre les gens, comme ils vivent, et non pas la politique qui fabrique sa clientèle selon qu’elle vit bien ou mal et qui se satisfait bien de l’une ou l’autre de ces conditions : l’on sait bien que de tous bords, elle est conduite par des dirigeants nationaux ou locaux qui, eux, de toutes façons, vivent bien et pas toujours de leur travail.
Si des commerçants disparaissent, c’est parce qu’ils n’ont plus de clients.
Le commerçant d’une ville comme Coutras, c’est celui qui, tout bien considéré, ne vend pas plus cher que les grosses enseignes, ne serait-ce que parce qu’il ne vend pas son après-vente, mais le donne ; c’est par exemple le plombier qu intervient dès la survenance d’une panne, le garagiste qui vous ramène à domicile, c’est celui qui connaît vos goûts, vos habitudes, qui a tout intérêt (et oui !) à garder son client, contrairement au salarié desdites enseignes qui n’a rien à faire de vos soucis et qui n’a qu’une consigne : vendre, même si vous n’avez pas les moyens d’acheter.
C’est le boucher… mais c’est vrai, il n’y en a plus : les gens préfèrent acheter « industriel » et payer très cher les emballages de la viande pour chiens qu’on leur offre et de même, certains autres produits ; car en effet, en matière alimentaire ou autre, de la m… pas cher, c’est très cher, mais on apprend aux gens l’inverse !
Il y en a qui l’ont compris : le commerce « de proximité » se développe à nouveau, mais au profit de multinationales (allemandes ou autres : ils sont forts !), mais là, il n’est pas question de dialoguer ; quant à l’après-vente…
Et bien j’attends des gestionnaires d’une commune la même disponibilité que celle de « mes » petits commerçants, dans un esprit d’équipe, comme on l’a vu avec des conseillers qui n’hésitaient pas à faire la route, à toute heure, pour constater, écouter… et faire circuler l’information pour le bien public, toujours dans l’esprit d’une équipe (municipale) responsable (ils sont partis, et pour cause !).
Seulement voilà : la gestion dans cet état d’esprit d’une commune comme Coutras, ce n’est pas celle de l’adepte des 35 heures, ni de celui (ou celle) qui vous renvoie à un numéro inaccessible en cas d’urgence, ni de celui (ou celle) qui se gargarise d’expressions ou rapporte les paroles des dirigeants nationaux de tous bords dont il (elle) ne connaît pas le sens, diffuse des contre-vérités ou donne des leçons de principes… qu‘il (ou elle) ne respecte pas lui (elle)-même.
Félicitations pour cet état d’esprit à plusieurs intervenants de ce blog.
P.S. : je ne suis pas candidat et pas du tout commerçant, loin de là, et je ne vois pas de liste ou il n’y a QUE des commerçants.
Nodos etc...- Messages : 14
Date d'inscription : 15/02/2008
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